Din Records « Le prix de l’indépendance » |
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| Histoires du monde , les grands Hommes , c'est ICI | |
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Auteur | Message |
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mnyx
Nombre de messages : 20 Age : 38 Localisation : Paris Date d'inscription : 28/03/2008
| Sujet: Re: Histoires du monde , les grands Hommes , c'est ICI Ven 25 Avr - 9:55 | |
| tu trouveras beaucoup sur lui mais sur des sites américains, donc pas en français par contre en parlant black panther voici un petit résumé qui explique ce que c'est...
Le Black Panther Party fut fondé à Oakland, Californie, en octobre 1966. Deux militants noirs, Bobby Seale et Huey P. Newton, rédigent un manifeste initial en dix points. Le point n°8 stipule que les Panthères noires exigent que tous les Noirs emprisonnés dans des prisons fédérales ou d’Etat soient libérés. Très vite, le BPP entre dans le collimateur des agences de sécurité étasuniennes, et plusieurs leaders sont emprisonnés. L’objectif du BPP est d’utiliser la réclusion comme un moyen de développer la propagande. En détention provisoire depuis 1967 puis condamné en 1968, Huey P. Newton, auteur du texte présenté est la tête pensante du parti. Ce texte traite directement de la prison. Il est extrait d’un recueil de textes publié par Philip S. Foner, dont la première édition date de 1970. Le livre est resté un classique, comme en témoigne la récente réédition utilisée ici. The Black Panthers Speak fut en effet le premier ouvrage regroupant un grand nombre de déclarations, consignes, discours des Black Panthers eux-mêmes.
le texte intégral est ici ! la fondation ici! | |
| | | Amine Oldtimer
Nombre de messages : 10018 Age : 38 Localisation : Sur le champs de guerre Date d'inscription : 26/02/2007
| Sujet: Re: Histoires du monde , les grands Hommes , c'est ICI Ven 25 Avr - 12:39 | |
| - mnyx a écrit:
- Amine a écrit:
- perso je vais essayer de mettre des grands hommes qu'on connait pas trop nomalement, des moins médiatique que Mandela,Luther King ou Malcolm X...au final sa serait bien d'avoir une liste très exhaustive
Sincérement j'trouve que c'est bien de re-parler des gens "connus", comme dis précédemment y'a des gens que j connais qui connaissent pas MLK, et je suis sure ici qu'il y a des gens qui ne connaissent pas toute l'histoire de ces grands hommes "médiatiques", pour reprendre ton terme. Mais je comprends ce que tu veux dire j'ai hésité a mettre MLK deplus à cause du topic consacré aux 40ans de sa mort, mais c'est un très grand monsieur pour moi voilaaaaaaaaaaa !
peace Pas de problèmes, ce que je voulais dire en faite c'est que MOI j'essaierai de mettre des personnes moins connu mais comme je l'ai dit j'aimerai une liste exhaustive, donc j'encourage tout le monde a mettre les personnages qu'ils souhaitent! | |
| | | Dobermann92
Nombre de messages : 2912 Age : 35 Localisation : 92 Date d'inscription : 26/05/2007
| Sujet: Re: Histoires du monde , les grands Hommes , c'est ICI Ven 25 Avr - 12:47 | |
| Ouai que le maximumu de mondes qui souhaite poster un personnage le fasse maintenant parce qu'aprés on va se lacher avec une liste de fou !! | |
| | | Konami
Nombre de messages : 3336 Age : 34 Localisation : Lille Date d'inscription : 17/04/2007
| Sujet: Re: Histoires du monde , les grands Hommes , c'est ICI Ven 25 Avr - 14:50 | |
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| | | Julien Admin
Nombre de messages : 5617 Age : 33 Localisation : [ Toulouse ] Date d'inscription : 26/02/2007
| Sujet: Re: Histoires du monde , les grands Hommes , c'est ICI Ven 25 Avr - 17:25 | |
| Bien les gens qui participent à mettre les " Bios " en quelques sortes. Les présentations sont bien faites par contre je lierai ce soir car Amine c'est plutôt long LOL.
Je posterai un truc sur Thomas Sankara, assassiné il y a maintenant prés de 21 Ans.
Peace | |
| | | Amine Oldtimer
Nombre de messages : 10018 Age : 38 Localisation : Sur le champs de guerre Date d'inscription : 26/02/2007
| Sujet: Re: Histoires du monde , les grands Hommes , c'est ICI Ven 25 Avr - 17:51 | |
| ouai bien Thomas Sankara, dit l'Homme Intègre...le dioc est sur Dailymotion pour ceux qui veulent se renseigné sur lui | |
| | | Julien Admin
Nombre de messages : 5617 Age : 33 Localisation : [ Toulouse ] Date d'inscription : 26/02/2007
| Sujet: Re: Histoires du monde , les grands Hommes , c'est ICI Ven 25 Avr - 18:42 | |
| Thomas Isidore Noël Sankara ... Est né le 21 Décembre 1949 à Yako et assassiné, malgrè ce qu'affirment certains, le 15 Octobre 1987 à Ouagadougou au Burkina Faso. C'était un grand Homme politique souhaitant œuvrer pour son pays et un militaire qui incarna et dirigea la révolution Burkinabé de 1983 jusqu'à son assassinat lors du coup d'état de celui qu'il considérait comme son frère, Blaise Compaoré. C'est d'ailleurs lui qui renomma le pays de Haute-Volta à Burkina Faso dixit le pays des Hommes intègres. Toute une jeunesse Africaine s'est vue dans les dires de Thomas Sankara et c'est cet engouement dépassant les frontières qui alerta la Françafrique ... Puisqu'il entreprenait des réformes majeurs pour combattre cette corruption et améliorer l'éducation, l'agriculture et le statut des femmes. Il fut, par exemple, l'un des premiers à prendre position contre l'excision. Son programme révolutionnaire se heurta à une forte opposition du pouvoir traditionnel qu'il marginalisait ainsi que d'une classe moyenne peu nombreuse mais relativement puissante. Ajoutés aux tensions entre radicaux et modérés, ces facteurs provoquèrent son assassinat lors du coup d'État sanglant du 15 octobre 1987. Un dossier qui est d'ailleurs toujours en cours de révision puisque Blaise Compaoré avait indiqué officiellement sur papiers qu'il était décédé de mort naturelle ... Alors que tout le monde sait qu'il a fusillé tandis qu'il se rendait les mains en l'air. Mais revenons un temps en arrière, Sankara fitses études secondaires au Lycée Ouézin Coulibaly. Il a suivi une formation d'officier à Madagascard et devint en 1976 commandant du centre de commando de Pô. La même année, il fait la connaissance de Blaise Compaoré avec lequel il formera le Regroupement des officiers communistes (ROC) dont les autres membres les plus connus sont Henri Zongo et Jean-Baptiste Boukary Lingani. En septembre 1981, il devient secrétaire d'État à l'information dans le gouvernement du colonel Saye Zerbo. Il démissionnera le 21 avril 1982, déclarant « Malheur à ceux qui bâillonnent le peuple ! » Sankara devint premier ministre en janvier 1983, mais fut limogé et mis aux arrêts le 17 mai, après une visite de Guy Penne, conseiller de François Mitterrand. Le lien entre la visite de Guy Penne et l'arrestation de Sankara reste sujet à controverse, même si les soupçons d'une intervention française restent forts à l'image du rôle important soupçonné de la France dans l'assassinat. Un nouveau coup d'État, le 4 août 1983 place Thomas Sankara à la présidence. Son gouvernement retira aux chefs traditionnels les pouvoirs féodaux qu'ils continuaient d'exercer. L'absence de tout procès ou de toute enquête de la part du gouvernement burkinabé sur cet assassinat a été condamnée en 2006 par l'O.N.U ...Retenez tout de même que Sankara savait qu'il allai être assassiner rapidement et il fallait mieux pour ses ennemis cela que de l'enfermer sinon il n'en ressortirait que plus fort. Il doutait lui-même de Blaise Compaoré mais avait dit que si un seul de ses amis toucher à celui-ci, il le ferait fusillé. Cela en dit beaucoup sur son comportement. Il était simple, proche du peuple, volontaire ...Peut-être trop même, en tout cas c'est ce que lui ont reprochés ses proches : D'aller trop vite, de trop travailler ... Les réformes se sont succéder sans qu'on n'y puissent voir leurs réels apports même si sa politique reste un exemple dans l'Afrique et sans son assassinat, le pays serait à coups sûrs développé au même rang que l'Afrique Du Sud par exemple. Seulement sa présence n'était pas bonne pour notre France qui le voyait d'un mauvais œil pour les futurs relations Françafrique. - Ses grandes actions -
- Campagne massive de vaccination des Burkinabé qui fera chuter le taux de mortalité infantile alors le plus haut d'Afrique,
- Construction considérable d'écoles et d'hôpitaux,
- Campagne de reboisement : Plantation de millions d'arbres pour faire reculer le Sahel,
- Grande réforme agraire de redistribution des terres aux paysans, augmentation des prix et suppression des impôts agricoles,
- Institution de Tribunaux Populaires de la Révolution (TPR),
- Grandes mesures de libération de la femme ( Interdiction de l'excision, réglementation de la polygamie, participation à la vie
politique, etc.),
- Aides au logement ( Baisse des loyers, grandes constructions de logement pour tous),
- Ses grands discours - " Tant qu'il y aura l'oppression et l'exploitation, il yaura toujours deux justices et deux démocraties : celle des oppresseurset celle des opprimés, celle des exploiteurs et celle des exploités. Lajustice sous la révolution démocratique et populaire sera toujourscelle des opprimés et des exploités contre la justice néo-colonialed'hier, qui était celle des oppresseurs et des exploiteurs. " 3 janvier 1984, ouverture des 1ères assises des TPR. " Il n'y a pas de révolution sociale véritable que lorsquela femme est libérée. Que jamais mes yeux ne voient une société où lamoitié du peuple est maintenue dans le silence. J'entends le vacarme dece silence des femmes, je pressens le grondement de leur bourrasque, jesens la furie de leur révolte. J'attends et espère l'irruption fécondede la révolution dont elles traduiront la force et la rigoureusejustesse sorties de leurs entrailles d'opprimées." 8 mars 1987, Ouagadougou. " Le pillage colonial a décimé nos forêts sans la moindre pensée réparatrice pour nos lendemains " 1983, Paris, Conférence Internationale sur l'arbre et la forêt. " Il faut proclamer qu'il ne peut y avoir de salut pournos peuples que si nous tournons radicalement le dos à tous les modèlesque tous les charlatans de même acabit ont essayé de nous vendre 20années durant. Il ne saurait y avoir pour nous de salut en dehors de cerefus là. Pas de développement en dehors de cette rupture là. Il fautranimer la confiance du peuple en lui-même en lui rappelant qu'il a étégrand hier et donc, peut-être aujourd'hui et demain. Fonder l'espoir. ". " La plus grande difficulté rencontrée est constituée parl'esprit de néo-colonisé qu'il y a dans ce pays. Nous avons étécolonisés par un pays, la France, qui nous a donné certaines habitudes.Et pour nous, réussir dans la vie, avoir le bonheur, c'est essayer devivre comme en France, comme le plus riche des Français. Si bien queles transformations que nous voulons opérer rencontrent des obstacles,des freins." A un journaliste américain. " L'esprit de liberté, de dignité, de compter sur sespropres forces, d'indépendance et de lutte anti-impérialiste […] doitsouffler du Nord au Sud, du Sud au Nord et franchir allègrement lesfrontières. D'autant plus que les peuples africains pâtissent des mêmesmisères, nourrissent les mêmes sentiments, rêvent des mêmes lendemainsmeilleurs. " Août 1984, Conférence de presse. " Nous n'avons pas compris comment ils [Jonas SAVIMBI del'Angola et Pieter BOTHA d'Afrique du Sud, pro Apartheid] ont eu ledroit de parcourir la France si belle et si propre. Ils l'ont tachée deleurs mains et de leurs pieds couverts de sang. Et tous ceux qui leuront permis de poser ces actes en portent l'entière responsabilité iciet ailleurs, aujourd'hui et toujours. " Novembre 1986, discours fait à François Mitterrand, en visite à Ouagadougou. Sachez que la lutte contre l’oppression, pour la liberté, commence d’abord par l’émancipation de l’esprit ... | |
| | | bess
Nombre de messages : 2241 Age : 38 Localisation : 76 Rouen Date d'inscription : 28/02/2007
| Sujet: Re: Histoires du monde , les grands Hommes , c'est ICI Sam 26 Avr - 0:04 | |
| c'est cool tous vos postes je vais lire tout ça petit à petit. Sinon pour mon premier post dans ce topic j'ai choisi un grand homme qui est toujours bien vivant. L’INSURGÉ MASQUÉ DU CHIAPAS : LE SOUS-COMMANDANT MARCOS.Alors, Marcos en fait c’est un combattant à l'origine pour les indigènes et la justice sociale. Au début de sa lutte il quitte sa ville pour aller dans l’Etat du Chiapas et c’est là qu’il va commencer à mettre en place ses idées. Il met en place un programme d'alphabétisation, il donne aussi des cours d'histoire du Mexique, et finit par à se lier à un petit groupe de militants révolutionnaires indiens.Donc après il se retrouve dans les montagnes, avec son groupe on les appelle « les maquisards », ils étudient l’histoire mexicaine et Marcos s’intéresse beaucoup aux légendes indiennes. L'armée zapatiste a puisé et s'est constituée en force de changement. S'identifier à l'archétype de Zapata rend possible une transformation sociale. On voit alors là, la grande rupture avec la vision progressiste. Il a s’est mis contre un régime réputé intouchable, avec son armée il a fait découvrir l'envers du décor : mal développement, effondrement économique, mafias politiques et cartel de la drogue.L'armée zapatiste passe en quelques mois de 80 à 1200 combattants. L'AZLN a vu un tournant décisif, celui de la "conspiration clandestine de milliers de gens ". Elle combat d’abord l'alcoolisme qui fait des ravages dans la région...
Même si les autorités mexicaines disent avoir révélé sa véritable identité, il y a encore un doute. A force de vouloir éviter l'émergence d'un caudillo, ça a échoué reconnaît Marcos. Il veut ni de prise de pouvoir ni de martyrs dans ses rangs, car "pour lutter, il faut être en vie". L'unique ambition est que les Mexicains puissent se voir dans "le miroir". Ces "soldats d'un type nouveau", composés pour un tiers de femmes, forment " une armée dont le but le plus élevé est de disparaître".
À titre de porte-parole, le sous-commandant Marcos doit son renom international, en particulier auprès de la gauche intellectuelle européenne, à son talent littéraire, ses formules poétiques et son sens de l'humour. Par exemple, afin de faire prendre conscience de la situation sociale extrêmement précaire de certains indigènes il relate dans l'anecdote suivante comment un indigène du Chiapas, qui ne connaissait de l'espagnol que les mots "oui" et "non" et qui s'était trompé en répondant lors de son interrogatoire, fut emprisonné pour parricide, cependant l'homme qui venait lui apporter des vivres chaque jour était bel et bien son père ! Lors du soulèvement de 1994 les zapatistes le libérèrent et le remplacèrent en prison par ses gardiens. c'est marrant mais quand tu sais que ça s'est réellement passé tu ris moins...
Voilà donc un grand homme qui a fait et qui fait beaucoup pour que les conditions sociales changent pour les plus démunis. | |
| | | Julien Admin
Nombre de messages : 5617 Age : 33 Localisation : [ Toulouse ] Date d'inscription : 26/02/2007
| Sujet: Re: Histoires du monde , les grands Hommes , c'est ICI Sam 26 Avr - 0:59 | |
| Abu Jamal j'ai l'impression d'avoir entendu ce nom dans un son ? | |
| | | Amine Oldtimer
Nombre de messages : 10018 Age : 38 Localisation : Sur le champs de guerre Date d'inscription : 26/02/2007
| Sujet: Re: Histoires du monde , les grands Hommes , c'est ICI Sam 26 Avr - 2:32 | |
| ya rockin'squatt qui parle souvent de lui | |
| | | Julien Admin
Nombre de messages : 5617 Age : 33 Localisation : [ Toulouse ] Date d'inscription : 26/02/2007
| Sujet: Re: Histoires du monde , les grands Hommes , c'est ICI Sam 26 Avr - 2:35 | |
| Ca doit être ça si ce n'est Médine. | |
| | | Amine Oldtimer
Nombre de messages : 10018 Age : 38 Localisation : Sur le champs de guerre Date d'inscription : 26/02/2007
| Sujet: Re: Histoires du monde , les grands Hommes , c'est ICI Sam 26 Avr - 2:41 | |
| ya aussi un morceau classique de rap cainri qui s'appelle "Mumia 911" qui réunit Dead Prez , Pharoahe Monch,P.E.A.C.E, The Last Emperor , Channel Live , Afu-Ra , Tragedy Khadafi , Zack De La Rocha , Slimkid 3 ( Tre Hardson) , Aceyalone , Goldii Lokks , Wise Intelligence , Sayeed , Gene Grey (a.k.a. What? What?) , Divine Styler , Black Thought , Chuck D rien que ça!! | |
| | | PLEO
Nombre de messages : 1350 Date d'inscription : 02/03/2007
| Sujet: Re: Histoires du monde , les grands Hommes , c'est ICI Mar 29 Avr - 17:22 | |
| Quelqun peut il m'apporter des précisions sur Stanley Tookie Williams cité dans Persone est innocent. Apparemment sa culpabilité n'a jamais été prouvée, je voulais en savoir en plus | |
| | | Dobermann92
Nombre de messages : 2912 Age : 35 Localisation : 92 Date d'inscription : 26/05/2007
| Sujet: Re: Histoires du monde , les grands Hommes , c'est ICI Mar 29 Avr - 17:32 | |
| Ouai "Stanley 'Tookie' Williams" a été reconnu coupable de trois meutres en 1979. Pendant que lui a toujours clamé qu'il était innocent . La justice s'est basé sur des témoignages pour l'inculpé. En tout cas il y a pas de preuves irrefutable de sa culpabilité . Le pire dans tous sa c'est que Arnold a dit que aucune raison pouvait justifié sa grâce parce qu'il a pas demander pardon aux familles des victimes !! Truc de fou si il est innocent c'est logique qu'il demande pas pardon . Vraiment les hommes politiques aux États-Unis c'est vraiment du n'importe quoi ! C'est dommage parce que c'était le seul hommes qui pouvait arrété la guerre des gangs aux States ! | |
| | | Amine Oldtimer
Nombre de messages : 10018 Age : 38 Localisation : Sur le champs de guerre Date d'inscription : 26/02/2007
| Sujet: Re: Histoires du monde , les grands Hommes , c'est ICI Mar 29 Avr - 17:47 | |
| Mohammed BoudiafPhoto: Mohamed Boudiaf, né à M'Sila le 23 juin 1919, assasiné le 29 juin 1992, était un homme d'État algérien.
Membre fondateur du Front de libération nationale et un des chefs de la guerre d'indépendance algérienne, il entre en opposition contre les premiers régimes mis en place à l'indépendance de son pays, et s'exile durant près de 28 ans. Rappelé en Algérie, en 1992 en pleine crise politique, à la tête de l'État, il est assassiné quelques mois après ses prises de fonction.
Biographie
Militant nationaliste
Mohamed Boudiaf est né le 23 juin 1919 à Ouled Madi dans l'actuelle wilaya de M'Sila en Algérie. Après avoir effectué ses études à M'sila, il devient fonctionnaire et occupe une fonction dans l'administration. Adjoint dans l'armée française, en 1942 durant la Seconde Guerre mondiale il est commis au service des contributions à Jijel. Après les massacres de Sétif de 1945, il s'engage dans les mouvements nationalistes algériens, et adhère au Parti du peuple algérien (PPA) de Messali Hadj, puis participe à la création de l’Organisation spéciale (OS), branche armée secrète du Mouvement pour le triomphe des libertés démocratiques (MTLD). Vers la fin de 1947, il en constitue une cellule pour le département de Constantine. L'OS est démantelée par la police française en 1950, et avec les autres membres dirigeants de l'organisation, il est jugé et condamné par contumace pour ses activités militantes. En 1952, il est muté en France par le MTLD où il milite au sein de la communauté immigrée algérienne.
Guerre d'Algérie
Il rentre en Algérie en mars 1954 et crée, avec huit autres militants, qui devinrent les « chefs historiques du FLN », avec pour objectif l'indépendance de l'Algérie par la lutte armée, le Comité révolutionnaire d'unité et d'action (CRUA) dont il est élu président. Après l'échec du CRUA, il fait parti, une nouvelle fois comme coordonnateur général, du « groupe des 22 », qui organise la préparation de la lutte armée désormais certaine[1]. Titulaire de la carte n°1 du Front de libération nationale (FLN), crée pour rassembler dans la lutte les différentes forces nationalistes, il est décidé comme date du déclenchement des « hostilités » le 1er novembre 1954 – date qui marque le début la guerre d'Algérie.
À l'issue du congrès de La Soummam, en août 1956 il devient membre du CNRA (Conseil national de la révolution algérienne). Le 22 octobre 1956, il est arrêté, avec d'autres chefs du FLN, par l'armée française suite au détournement de l’avion civil marocain qui le menait vers la Tunisie. Il dirige alors depuis sa prison la fédération de France du FLN et est nommé en 1958 ministre d’État du Gouvernement provisoire de la République algérienne (GPRA), à sa création, puis vice-Président en 1961. Il est libéré le 18 mars 1962 après les accords d'Évian.
Exil politique
À l'indépendance en juillet 1962, il entre en désaccord avec Ben Bella, soutenu par le commandement de l'Armée de libération nationale (ALN) de l'extérieur, qui crée un bureau politique du FLN pour remplacer le GPRA. Le 20 septembre 1962, alors que le bureau politique constitue la première assemblée nationale algérienne, Mohamed Boudiaf fonde en opposition son propre parti, le Parti de la révolution socialiste (PRS). Le 23 juin 1963, il est arrêté, puis contraint à l'exil dans le sud algérien où il est détenu plusieurs mois avant d'être libéré. Condamné à mort en 1964 par le régime Ben Bella, il quitte l'Algérie et rejoint la France puis le Maroc. Il œuvre au sein de son parti, et anime à partir de 1972 entre la France et le Maroc plusieurs conférences où il expose son projet politique pour l'Algérie, et anime la revue El Jarida. Son livre Où va l'Algérie, qui livre un témoignage lucide sur l'après-indépendance et la prise du pouvoir par les militaires, résume ses propositions politiques. En 1979, après la mort de Houari Boumédiène, il dissout le PRS et va se consacrer à ses activités professionnelles en dirigeant à Kénitra au Maroc une briquèterie.
Retour en Algérie
Le 2 janvier 1992, après la démission du président Chadli Bendjedid, Mohamed Boudiaf est rappelé en Algérie pour devenir le président du Haut Comité d’État (HCE), en charge provisoire des pouvoirs de Chef d'État. Par son long exil, il apparaissait en effet paradoxalement comme un homme neuf, non impliqué dans les tribulations de la dictature algérienne et donc susceptible de sortir le pays de l’impasse. Souhaitant une Algérie démocratique tournée vers la modernité, il disait vouloir mettre fin à la corruption qui gangrénait l'État. Mais Mohamed Boudiaf est assassiné six mois plus tard, le 29 juin 1992, lors d'une conférence des cadres qu'il tenait dans la ville d'Annaba. Un sous-lieutenant du groupe d'intervention spécial (GIS), Lambarek Boumaarafi, jeta une grenade et toucha mortellement le président. La motivation de son assassinat est sujet à controverse, entre la piste d’une action isolée commise par un militaire ayant des sympathies islamistes et celle d’un complot plus vaste impliquant des généraux de l'armée
Œuvre
* Où va l'Algérie ? (essai), Éditions de l'Étoile, Paris, 1964, 94 p. * La préparation du 1er novembre suivie de Lettre ouverte aux Algériens (autobiographie), El Jarida, Paris, 1976, 208 p.
Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Mohamed_Boudiaf Un grand homme dont l'assassinat a choquer toute l'Algérie...il aurait du etre l'homme du renouveau et de l'union sacré...mais certains ne l'ont pas vu de cet oeil là...Allah irahmou! | |
| | | Dobermann92
Nombre de messages : 2912 Age : 35 Localisation : 92 Date d'inscription : 26/05/2007
| Sujet: Re: Histoires du monde , les grands Hommes , c'est ICI Mar 29 Avr - 18:16 | |
| Bien vu sa Amine Un Grand Homme ! Allah irahmou | |
| | | Omar Modérateur
Nombre de messages : 5386 Age : 34 Localisation : VITRY 94 Date d'inscription : 26/02/2007
| Sujet: Re: Histoires du monde , les grands Hommes , c'est ICI Mar 29 Avr - 21:59 | |
| yes!! Bien vu! un très grand homme, qui s'est battu pour son pays et qui est mort pour lui Allah y Rahmou | |
| | | Dobermann92
Nombre de messages : 2912 Age : 35 Localisation : 92 Date d'inscription : 26/05/2007
| Sujet: Re: Histoires du monde , les grands Hommes , c'est ICI Mar 9 Sep - 5:40 | |
| Patrice Lumumba Chanson: Anéanti Paroles: "Et j'irais chercher mes couplets dans l'estomac de Lumumba" Photo:Patrice Émery Lumumba (né le 2 juillet 1925 à Onalua, Congo belge - assassiné le 17 janvier 1961 au Katanga) est le premier premier ministre du Congo (de nos jours République démocratique du Congo) de juin à septembre 1960. Il est une des principales figures de l'indépendance du Congo. Patrice Émery Lumumba est considéré au Congo comme le premier « héros national ».
Patrice Lumumba est né à Onalua (territoire de Katako-Kombe au Sankuru, Congo belge (actuelle République démocratique du Congo)). Il fréquente l'école catholique des missionnaires puis, élève brillant, une école protestante tenue par des Suédois. Jusqu’en 1954 (année de la fondation d'un réseau d'enseignement laïque et de la première université) la Belgique coloniale n’a que peu développé le systéme d’éducation, entièrement confié aux missions religieuses, l'école ne donne qu’une éducation rudimentaire et vise plus à former des ouvriers ou des clercs, mais Lumumba autodidacte, se plongera dans des manuels d’histoire pour étudier plus en profondeur la Révolution française, l’histoire d’Haïti, des États-Unis et de la Russie. Il travailla comme employé de bureau dans une société minière de la province du Sud-Kivu jusqu’en 1945, puis comme journaliste à Léopoldville (aujourd'hui Kinshasa) et Stanleyville (Kisangani), période pendant laquelle il écrivit dans divers journaux. En septembre 1954, il reçoit sa carte d’«immatriculé», honneur chichement accordé par l'administration belge à quelques noirs (à peine 200 sur les 13 millions d'habitants de l'époque). C’est en travaillant pour la société minière qu’il comprend que son pays est un grand fournisseur de matière première dont le rôle est capital dans l’économie mondiale. Il comprend que l’administration coloniale essaie d’abrutir les Congolais afin qu’ils ne prennent pas conscience du fabuleux potentiel qu’a leur pays dont les frontières ont été fixées au hasard. Lumumba ayant compris cela milite alors pour un Congo uni contrairement à tous les autres leaders indépendantistes. En 1955, il crée une association "APIC" (Association du personnel indigène de la colonie) et aura l’occasion de s’entretenir avec le roi Baudouin en voyage au Congo, sur la situation des Congolais. Le ministre du Congo de l'époque, Auguste Buisseret veut faire évoluer le Congo et notamment mettre en place un enseignement public. Lumumba adhère au parti libéral avec d'autres notables congolais. Avec plusieurs d'entre eux, il se rend en Belgique sur invitation du premier ministre. Le combat pour l'indépendance En 1956, il est emprisonné un an. Libéré par anticipation, il reprend ses activités politiques et devient directeur des ventes d'une brasserie. Le gouvernement belge prend quelques mesures de libéralisation : syndicats et partis politiques vont être autorisés en vue des élections municipales qui doivent avoir lieu en 1957. Les partis politiques congolais sont parrainés par ceux de Belgique et Lumumba est d’abord inclus dans l’amicale libérale. En 1958, à l'occasion de l’exposition universelle, des Congolais sont invités en Belgique. Outrés par l'image dégradante du peuple congolais qui est véhiculée par l'exposition, Lumumba et quelques compagnons politiques nouent des contacts avec les cercles anti-colonialistes. Dès son retour au Congo, il crée le Mouvement national congolais (MNC), à Léopoldville le 5 octobre 1958 et, à ce titre, participe à la conférence panafricaine d’Accra. Il peut organiser une réunion pour rendre compte de cette conférence au cours de laquelle il revendique l'indépendance devant plus de 10 000 personnes. Premiers démêlés politiques en octobre 1959 : le MNC et d'autres partis indépendantistes organisent une réunion à Stanleyville. Malgré un fort soutien populaire, les autorités belges tentent de s'emparer de Lumumba - c'est l'émeute et une trentaine de morts. Lumumba est arrêté quelques jours plus tard, est jugé en janvier 1960 et condamné à 6 mois de prison le 21 janvier. En même temps les autorités belges organisaient des réunions avec les indépendantistes auxquelles participe finalement Lumumba, qui est donc libéré de facto le 26 janvier. À la surprise générale, la Belgique accorde au Congo l'indépendance qui est fixée au 30 juin 1960. Lors de la cérémonie d'accession à l'indépendance du pays, le 30 juin 1960, il prononce un discours virulent dénonçant les abus de la politique coloniale belge depuis 1885. Au lieu de s'adresser au roi présent à la cérémonie, Lumumba commença son allocution par une salutation "aux Congolais et Congolaises, aux combattants de l'indépendance..." Son discours proclamait vivement que l'indépendance marquait la fin de l'exploitation et de la discrimination, le début d'une ère nouvelle de paix, de justice sociale et de libertés. Une brève carrière politique Le MNC et ses alliés remportent les élections organisées en mai et, le 23 juin 1960, Patrice Émery Lumumba devient le premier premier ministre du Congo indépendant. Néanmoins, en attendant la formation des premières promotions d'officiers congolais, une grande partie des cadres de l'armée restent belges et les soldats noirs se révoltent, tuant les officiers blancs et violant les femmes belges. Pratiquement tous les cadres belges prendront alors la fuite. Lumumba décrète l'africanisation de l'armée et double la solde des soldats. La Belgique répond par l'envoi de troupes pour protéger ses ressortissants au Katanga (la région minière) et soutient la sécession de cette région menée par Moïse Kapenda Tshombé. En septembre 1960, le président Joseph Kasa-Vubu révoque Lumumba ainsi que les ministres nationalistes. Lumumba déclare alors qu’il restera en fonction. À sa demande, le parlement acquis à sa cause révoque le président Kasavubu. Suite à un coup d'État, Joseph Désiré Mobutu prend le pouvoir, crée le Collège des Commissaires généraux et assigne à résidence les dirigeants congolais. En décembre 1960, Lumumba s'échappe de la capitale pour tenter de gagner Stanleyville, région où il a de nombreux partisans. Il est arrêté alors qu'il passait la Sankuru à Mweka et il est transféré au camp militaire de Thysville sur ordre de Mobutu. Leur transfert fut un moment envisagé au fort de Shinkakasa à Boma. Le 17 janvier 1961, Patrice Lumumba, Maurice Mpolo et Joseph Okito sont conduits par avion à Elisabethville, au Katanga, et livrés aux autorités locales. Lumumba, Mpolo et Okito seront conduits dans une petite maison sous escorte militaire où ils seront ligotés et humiliés par les responsables katangais comme Moïse Tshombé, Munongo, Kimba, Kibwe, Kitenge mais aussi les Belges Gat et Vercheure[1]. Ils seront fusillés le soir même par des soldats sous le commandement d’un officier belge. Mais, des documents secrets officiels belges, maintenant déclassifiés, dont la lecture ne laisse pas de doutes sur le fait que c’est bien la Belgique qui porte la plus grande responsabilité dans l’assassinat de Lumumba. Le comte Harold d’Aspremont Lynden, ministre belge des Affaires africaines et proche du roi Baudouin, n’écrivait-il pas le 5 octobre 1960 que l’objectif principal à poursuivre dans l’intérêt du Congo, du Katanga et de la Belgique est évidemment l’élimination définitive de Lumumba ? Ce sont des Belges, précise De Witte, qui ont dirigé toute l’opération du transfert de Lumumba au Katanga, jusqu’à sa disparition et celle de son corps. La Belgique était en effet le seul pays à avoir reconnu le Katanga comme état indépendant et sa petite armée était dirigée par des officiers belges. Le lendemain, une opération sera menée par des agents secrets belges pour faire disparaître dans l'acide les restes des victimes découpées auparavant en morceaux. Plusieurs de ses partisans seront exécutés dans les jours qui vont suivre, avec la participation de militaires, ou mercenaires belges. Tshombé lance alors la rumeur selon laquelle Lumumba aurait été assassiné par des villageois. Ceci déclenche une insurrection parmi la population paysanne, qui prend les armes sous la direction de Pierre Mulele au cri de « A Lumumba » ou « Mulele Mai » : les paysans conquièrent près de 70 % du Congo avant d’être écrasés par l’armée de Mobutu. Lumumba fut très regretté après sa mort par toute la communauté des pays non-alignés[réf. nécessaire], y compris par un de ses bourreaux, le général Mobutu qui le consacra héros national en 1966. Le retour d'Égypte de sa femme Pauline et de ses enfants fut considéré comme un événement national. Le jour de sa mort, le 17 janvier, est un jour férié au Congo-Kinshasa. L'action des anciens colonisateurs en pleine guerre froideLe rôle des puissances occidentales et celui des États-Unis en particulier a été fortement évoqué dans la mort de Lumumba. Ils craignaient une dérive du Congo belge vers l'URSS. En effet, Lumumba fit appel aux Soviétiques lors de la guerre du Katanga car l'ONU ne répondit pas à ses demandes d'aide militaire pour mettre fin à la guerre civile. Les États-Unis et la Belgique sont en grande partie responsables de la mort de Lumumba. Les archives de la CIA déclassifiées depuis le 21 Juin 2007 indiquent clairement cette implication:[2] En Novembre 1962, Monsieur (classé) a informé M Lyman Kirpatrick qu'il avait reçu à l'époque la consigne de M Richard Bissel de porter la responsabilité d'un projet incluant l'assassinat de Patrice Lumumba, alors premier ministre de la république du Congo. Selon (classé) la méthode devait consister en l'empoisonnement, puisqu'il a mentionné avoir reçu l'ordre de rencontrer le docteur Sidney Gottlieb afin de se procurer le mode d'administration[3] Les États-Unis de Dwight Enseihower <républicain> voulaient l’éliminer pour éviter un basculement du géant africain dans le communisme et la Belgique voyait en lui et ses thèses d’indépendance économique une menace pour ses intérêts économiques notamment dans le secteur minier. Ces deux pays ont soutenu l’effort de guerre de Mobutu contre les Maï-Maï. Les mercenaires belges ont organisé l’opération Omegang pour écraser la résistance Maï-Maï au Kivu. Le meurtre de Lumumba a été élucidé par la justice belge sous l’impulsion de François Lumumba qui a porté plainte contre X, et du sociologue belge Ludo de Witte. Le gouvernement belge a reconnu en 2002, une responsabilité dans les événements qui avaient conduit à la mort de Lumumba : À la lumière des critères appliqués aujourd'hui, certains membres du gouvernement d'alors et certains acteurs belges de l'époque portent une part irréfutable de responsabilité dans les événements qui ont conduit à la mort de Patrice Lumumba. Le Gouvernement estime dès lors qu'il est indiqué de présenter à la famille de Patrice Lumumba et au peuple congolais ses profonds et sincères regrets et ses excuses pour la douleur qui leur a été infligée de par cette apathie et cette froide neutralité. Sa famille Patrice Lumumba était marié et père d'au moins six enfants : François, Patrice junior, Julienne, Roland,christine <décédée en 1960> et Guy <né en 1961 après la mort de Patrice Lumumba>. Avant son emprisonnement, Lumumba s'est arrangé pour que son épouse légitime Pauline Opango et les enfants dont 4 issus de cette union plus François puissent quitter le pays. Ils sont allés en Égypte où François a passé le reste de son enfance, avant d'aller en Hongrie poursuivre ses études. Il est revenu au Congo dans les années 90, au début de la rébellion contre Mobutu, et a créé un petit mouvement politique lumumbiste. Bien que son mouvement demeure peu puissant, il reste impliqué dans la politique congolaise et tente de défendre les idées de son père. Guy a été candidat malheureux lors de l'élection présidentielle qui se sont déroulé en 2006 au Congo. Depuis son apparition sur la scène politique, il entend poursuivre le défi de la relève au sein de la famille biologique et politique de Patrice Lumumba. Source:http://fr.wikipedia.org/wiki/Patrice_Lumumba
Dernière édition par Dobermann92 le Mar 9 Sep - 5:45, édité 4 fois | |
| | | Dobermann92
Nombre de messages : 2912 Age : 35 Localisation : 92 Date d'inscription : 26/05/2007
| Sujet: Re: Histoires du monde , les grands Hommes , c'est ICI Mar 9 Sep - 5:41 | |
| Je relance ce topic trés intéressent | |
| | | bhrecords
Nombre de messages : 907 Age : 36 Date d'inscription : 28/02/2008
| Sujet: Re: Histoires du monde , les grands Hommes , c'est ICI Mar 9 Sep - 12:49 | |
| Merci, Dob, je lirais quand j'aurais le temps | |
| | | mugen57
Nombre de messages : 84 Date d'inscription : 10/06/2008
| Sujet: Re: Histoires du monde , les grands Hommes , c'est ICI Mar 9 Sep - 19:55 | |
| tres bon topic sincerement | |
| | | Ifa
Nombre de messages : 2979 Age : 32 Localisation : Ile de France Date d'inscription : 06/11/2007
| Sujet: Re: Histoires du monde , les grands Hommes , c'est ICI Mar 9 Sep - 20:51 | |
| - Dobermann92 a écrit:
- Je relance ce topic trés intéressent
Et tu ne le relance pas avec n'importe qui ^^ Merci Dob | |
| | | bess
Nombre de messages : 2241 Age : 38 Localisation : 76 Rouen Date d'inscription : 28/02/2007
| Sujet: Re: Histoires du monde , les grands Hommes , c'est ICI Mer 10 Sep - 16:04 | |
| yes. Bonne initiative Dob ! | |
| | | Smail B
Nombre de messages : 5128 Date d'inscription : 23/02/2008
| Sujet: Re: Histoires du monde , les grands Hommes , c'est ICI Mer 10 Sep - 16:21 | |
| comment a t'ont pu l'oublier ? | |
| | | Amine Oldtimer
Nombre de messages : 10018 Age : 38 Localisation : Sur le champs de guerre Date d'inscription : 26/02/2007
| Sujet: Re: Histoires du monde , les grands Hommes , c'est ICI Mer 10 Sep - 17:40 | |
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