Besoin d'explications

Seenap's a écrit:

Pour Peplum, le but est de mettre en parallèle les personnages sociaux des époques passés à ceux d'aujourd'hui.

Pas seulement, mais aussi mythologique, tel que les Nâzgul ou les Jedi's, pas seulement historique, c'est tout les trucs qui ont été utiliser dans les péplum, et les films "Péplum" sont les films où les personnage ont des toges! des tuniques d'époques quoi!
Exemple de Péplum : Ben-hur, Les Dix Commandements, Spartacus, Les derniers jours de Pompeï, Gladiator, Troie, alexandre, 300 mais aussi les Star Wars, les Seigneur des anneaux ou encore Le Message!

Je voudrais etre sur d'un truc
Pour ce qui ont le collector, dans le poster
a un moment ya la photos de Ness & Cité et Médine
Je me trompe ou cette photo représente exactement les position de Carlos Et Smith ??
[ vu la posotion de chacun ... ]

soprajoany a écrit:

Je voudrais etre sur d'un truc
Pour ce qui ont le collector, dans le poster
a un moment ya la photos de Ness & Cité et Médine
Je me trompe ou cette photo représente exactement les position de Carlos Et Smith ??
[ vu la posotion de chacun ... ]

Tout à fait !

(de retour sur ce forum que j'ai quitté il y a plusieurs mois ! Salut à ceux qui se souviennent de moi !!!!)

Bon ben j'ai écouté le cd sans arrêter depuis une semaine (pas bien le p2p en général), et j'ai quitté le taff hyper tôt ce midi, couru et... yes, il restait des collectors à la Fnace de Rennes

Dobermann92 a écrit:

K-Lead78 a écrit:

Moi j'ai une question, dans "Panther Blues" avec Tiers Monde
j'ai pas pigé pourquoi il dit un truc du genre :

"Si le monde était une forêt géante
Comprend que le chite serait une fléchette tranquillisante."

Il fait un rapprochement entre le monde et la foret
ici il nous compare avec les peuples des forets qui ont des fléchettes pour chasser mais nous en revenche on a le pillon anesthésiant
jespere que ta compris

Okey d'ac merci ! Belle lecture analytique.

Salut a tous !
J'suis nouveau sur le forum et j'ai aimé le concept de décrypter les paroles de Médine, et contrairement aux autres forum de rappeurs, hé ben c'est très courtois et les gens sont très compréhensible et ça fait plaisir !

Alors à mon tour de vous présenté une phases que je n'ai pas comprise; la question a peut etre déja été traitée mais je vous avoue que j'ai pas eu le courage de lire les 30 pages !(lol)

La phases c'est celle-ci

Dans l'album 11 septembre, la track 11 septembre :

"Le beurre à fondu, chauffé par l'argent
Arabe, occident et dents contre dents"

et aussi j'ai relever une contradiction, dites moi ce que vous en penser :

Au debut du meme morceau :

"J'recrache le drame du monde qui nous entoure
Bizarement le vent souffle en bas des tours
L'envers du décor j'le rapporte sans détours
Ni contre, ni pour, récit du 11ème jour"

Dans ce dernier ver j'ai compris : ni contre et ni pour ce qui s'est passé le 11 septembre, or dans le dernier album, Arabian Panther, la track "Arabospiritual", début du 2eme couplet Médine dit :

"Moi j'ai le mal du siècle
Depuis qu'à Manhattan les tours jumelles ne décorent plus le ciel"

Dans cette phrase je comprend qu'il donc en quelque sorte contre ce qui s'est passé le 11 septembre.

Qu'en pensez-vous ?

merci d'avoir lu le message

++

Dans le morceau Arabospiritual, il ne dit pas être contre les attentats.
Simplement, il a le mal du siècle depuis ce jour là. Il aurait pu dire : Moi j'ai le mal su siècle depuis le 11 Septembre. C'est la même chose.

Peace et bienvenue aussi!

Moi dans besoin de revolution j'ai pas compris quand il dit

Besoin d'une bouche d'égout pour Beat-Boxer.

ok merci pour la réponse,
et moi non plus Momo j'ai pas saisi ce qu'il a voulu dire

Touftaf a écrit:

Salut a tous !
J'suis nouveau sur le forum et j'ai aimé le concept de décrypter les paroles de Médine, et contrairement aux autres forum de rappeurs, hé ben c'est très courtois et les gens sont très compréhensible et ça fait plaisir !

Alors à mon tour de vous présenté une phases que je n'ai pas comprise; la question a peut etre déja été traitée mais je vous avoue que j'ai pas eu le courage de lire les 30 pages !(lol)

La phases c'est celle-ci

Dans l'album 11 septembre, la track 11 septembre :

"Le beurre à fondu, chauffé par l'argent
Arabe, occident et dents contre dents"

et aussi j'ai relever une contradiction, dites moi ce que vous en penser :

Au debut du meme morceau :

"J'recrache le drame du monde qui nous entoure
Bizarement le vent souffle en bas des tours
L'envers du décor j'le rapporte sans détours
Ni contre, ni pour, récit du 11ème jour"

Dans ce dernier ver j'ai compris : ni contre et ni pour ce qui s'est passé le 11 septembre, or dans le dernier album, Arabian Panther, la track "Arabospiritual", début du 2eme couplet Médine dit :

"Moi j'ai le mal du siècle
Depuis qu'à Manhattan les tours jumelles ne décorent plus le ciel"

Dans cette phrase je comprend qu'il donc en quelque sorte contre ce qui s'est passé le 11 septembre.

Qu'en pensez-vous ?

merci d'avoir lu le message

++

Il s'est deja expliqué par rapport a ni pour ni contre et comme la dit julien c'est pas le même sens que dans arabospiritual

Y a un faux sens bien sur medine condamne les attentats c'est pas ce qui faut comprendre ici

moi je pense que surtout ds le morceau 11 septembre quand il dit qu il est ni pour ni contre c'est qu il veu fixé les bases du morceau c'est a dire faire un état des lieux neutre du onze septembre et de lhistoire moderne comme devrait le faire un journaliste

et il est forcement idiot de penser que medine soit autre chose que contre les attentats

Léo a écrit:

moi je pense que surtout ds le morceau 11 septembre quand il dit qu il est ni pour ni contre c'est qu il veu fixé les bases du morceau c'est a dire faire un état des lieux neutre du onze septembre et de lhistoire moderne comme devrait le faire un journaliste

et il est forcement idiot de penser que medine soit autre chose que contre les attentats

+1

Léo a écrit:

moi je pense que surtout ds le morceau 11 septembre quand il dit qu il est ni pour ni contre c'est qu il veu fixé les bases du morceau c'est a dire faire un état des lieux neutre du onze septembre et de lhistoire moderne comme devrait le faire un journaliste

et il est forcement idiot de penser que medine soit autre chose que contre les attentats

c'est ce que je voulai dire lol bien joué

"Si le monde était une forêt géante
Comprend que le shit serait une fléchette tranquillisante."
Perso, j'ai saisi que pour anesthésier les esprits, rendre les volontés plus dociles, affaiblir les désirs d'émancipation, noyer les révoltes, la jungle sauvage a ses sarbacanes, la jungle urbaine, elle, a ses spliffs. Le parallèle est juste, le bédo symbole du ghetto, de sa liberté, de son doigt d'honneur dressé à la face de la société, mais ce n'est qu'illusion que tout ceci. Au-delà du fait que le teshi envoie des jeunes en zonzon par files entières, c'est leur conscience qui perd peu à peu l'énergie de la révolte, de la revendication et du combat.

"Moi j'ai le mal du siècle
Depuis qu'à Manhattan les tours jumelles ne décorent plus le ciel"
Le mal du siècle, ici, c'est la soudure du stéréotype du terroriste islamiste sur tout individu présentant des caractéristiques facilement identifiables, soit la couleur, l'habit, la langue. Le mal du siècle, c'est la négation de toute une culture par sa simplification en clichés, par sa désignation comme danger potentiel, par le refus des médias de dresser autre qu'un tableau noir et mensonger. Le mal du siècle, c'est qu'autrui te juge et bien souvent te condamne avant même de te connaître.

ok merci pour vos explications
et en ce qui concerne cette phase :


"Le beurre à fondu, chauffé par l'argent
Arabe, occident et dents contre dents" ?

Cette phrase il me semble vise l'arabe saoudite et les pays arabe qui negocie avec les usa !
C'est donc l'arabe qui est corrompu par les petrodollars

Peut-être... mais l'image du beurre fondu elle exprime quoi? Sur le coup j'avoue de ne pas comprendre

le beurre c'est l'arabe et il est fondu par l'argent

Mouais... mais ça ne veut rien dire. Et puis ça n'a pas de sens avec la suite " Arabe, Occident, c'est dent contre dent." Je crois avoir trouvé. Rapport avec le proverbe, "on ne peut pas avoir le beurre et l'argent du beurre", ce qui veut dire que tout nécessite un choix donc une concession. Alors "le beurre fondu, chauffé par l'argent" voudrait dire qu'une alternative a pris le pas sur l'autre, au point de la faire disparaître, pour finalement apparaître comme seule solution possible. Alors, est-ce l'enrichissement financier qui a pris le pas sur toutes autres considérations ? Peut-être, mais ça n'a pas de rapport avec la suite. Je pencherais plutôt sur le fait que l'Occident et les pays du Moyen Orient sont allé trop loin dans les joutes, aussi bien verbales que guerrières, pour qu'ils arrivent à entrevoir d'autres solutions qu'un conflit ouvert. Qu'en dis tu?

Ouai c'est bien expliquer mais je sais pas je suis pas convaincu faut que medine nous explique lol

pas convaincu... bigre. Sacré tête de bois.

lol j'ai dit que c'était bien expliqué aussi ^^

LOL ouais faudrait lui poser cette question personnellement à Médine !

Au moins j'aurais pas posé la question dans le vent

Nan mais les mecs le genre cinématographique et la tunique ce ne sont pas deux sens opposés mais simplement le genre cinématographique s'appele ainsi parce que les protagonistes de ces films sont vetus en tuniques.
Tout simplement.

Sinon, pour le beurre fondu par l'argent, comme ça a eté dit, c'est un jeu de mot avec beur.
Dans 11 septembre, il dit ni contre ni pour pour préciser qu'il va faire un constat objectif. Dans arabo-spiritual il dit que le mal du siècle c'est les attentats et plus précisement ce qui en a découlé (diabolisation de l'islam).
Moi c'est vraiment le refrain de portrrait chinois que je pige pas trop.
Et aussi le "bouche d'égout pour beat boxer".

Sinon je sais pas si je vous l'avais dit, mais à la fin d'un concert Médine m'avait expliqué le sens de la phrase suivante :

11 septembre : l'oeil est au cou et dans le reflet du teau-cou.

L'oeil est au cou signifie que quelqu'un nous porte le mauvais oeil.
Le reflet du teau-cou c'est le reflet du couteau dans lequel on voit le traitre un instant avant qu'il nous égorge.